- Les 31 attentats (ratés) contre DE GAULLE ,beaucoup ignorés des Français

Faute de laboratoire, EISGELDER effectua les premiers ravaux dans son propre apartement à Rome.
Quns il estima ue sn appareil était au point,il décida de proc&derà des essais.
Ul emmena sa famille en proenad au mont Circé, éperon rocheux de la côte de Latium, aux dessus des marais e Pontins.
Ensite, in s'y rendit en semaine, pour ne pas être dérangér et, il fit sauter des chages légères, cela avec succès.
A l'intéieur du récepteur, il y avit un filament rn Tungsène,qui était poré au rouge au moment de l'émission?.Sur l'émetteur, un petit bouton , sur lequel on appuyit pendant 15 secondes avant de le lacher: L'inde passait. Lincenteur, avait eus beaucoup de mal à mettre au poin  le rain dondes. Il ne fallait pas que lerécepteur fut sensibe à n'imorte que rain ondes soures. il avit donc créé une " clé dondes"  comme s'ily avait une serrure  dans le récepteur, et une clé dans l'émetteur. L'appareil ne fonctionnait que si le récepteur était muni d'une antenn à découvert. La portée des ondes éaient d'enviton 300 à 400 mètres: mais ROSGELDER estimait que l'metteur, ne devait pas se trouver à plus de éàà mètres, si lon voulait être certain de l'efficacité.
Les 2 appareils éaient si ptits qu'ils tenaient dans ue cartouche de cigaretes. C'est d'aillurs ainsi quils ont passé la frontoère, grâc à GONZALES, qui utilisa les services d'un médecin de Menton.
Le réseau GONZALES fit ainsi passer 2 explaires de l'invention de ROSFELDER.

     A SUIVRE.

Il y es2 équipes prévues : L'équipe chargées de la mse en place e la bombe, et l'équipe d la mise à feu, totalement inconue de la première.
L'himme qui éai capable d diriger la première équipe, se trouait à Rome : Gilles BUSCIA.
BUSCIA est Corse et fier de l'être, véritable chef de commando, courageux jusq"à la témérité. Grande hebileté à éviter les rencontre avec la police. Les fiches de renseignements leconcernant, mentionnait qu'il était né à Bizertz le 2 janvier 1938, qu'il 'avait pas de domicile fixe, qu'il étair instituteur e qu'il se fasair appeler Jseph DELAPORTE et Michel ABITR. Accusé d'avoir tuéle Comandat KUBAZIAK ) Aix-En)Provnce. Il avait été arreté  et incarcéré à Gresnes. Le 4 septembre 1963, il s'évadait en copagnied'un des coinculpés FRASSATI, et avecla complicité d'un gardien, CECCALDI. Il avait élors gagn Rome, ou il avait rencontré SUSINI et ROSFELDER.
Tou naturellement, SUSINI pnse à lui, pour l'attentat. Il l'envoir à Genève, u l'un des passeurs  le fera passer en France où, il doit recruter des hommes.En France, il retrouve un ami, ancen Légionnaire, ayant appartenu  l'OAS-Métropole en 1062, Samiel LEHMAN.
LEHMAN, qui a alors 32 ans s'éait engagé 2 fois dans la Légion, et vait même été condamné en Suisse pour avoir servi das une armée étrangère. L jour de sa libération, il avai rencontré un ancien sergent déserteur, qui l'avait convaincu d'enrer dans l'OAS à Marseille.
Il avait été arrêt" alors qu'il tentai de récpérer une valise en dépôt à la gare Saont-Carles. Ol avait fait 2 an de prison prévéntve, et avai été condamné à 2 ans e prisons avec sursis, par la cour se sureté de l'Etat.

    A SUIVRE.

LEHMAN est d'accord de rejoindre BUSCIA à Marseille. Dès son arrivée, il prend contac avec un amo,Jean-Baptiste CANFARANI, qui avait été arrêté en même temp que lui à la gre Sain-Charles.
CANFAEANI, vient d'être libéeé après 20 ett un mois de déention.
BUSCIA, le chage de s"occuper de la logistique de l"opération, c'est-à-dire de l'hébergment des hommes et des transport.CANFARANI, ecrute immédiatement 3 étudiants qui partagent ses idées politique : ALAIN, fils d'un chirugien Marseillais, PHILIPPE, fils d'u ancin secrétaire de Charles MAURRAS, et PIERRE, étudiant en sciences-po, qu'il a cnnu à la cetrale deToul.
PIERRE, présente ses amis à un vieux militants dont le père tient un magain d'antiquités Boulevars Garbaldi et,qui avaitété le créateur dun mouvement  de l'Action Française en Algérir.Le masin, à l'enseigne " aux ames de France servira de base logistique à l"quipe, pendant la préparation de l'attentat.
L'équipe de CANFARANI n'agit pas par amour de l'argent : pendant la semaine qui précéda l'attentat, ills étaient tellement déunis d'argent, quils avaient pour touts nourriture, ur baguette de pein frais trempée dans de l'eau sucrée.
BUSCI, par code, met SUSINI au courant, qu"il va à Paris reontré des amis ç lui,  au retour en oiture, il es piloté par un des ses amis, Yves ROSSIGNOL, qui faiant plusieurs và et vient entre Paris et Marseille, sera blessé dans un accident d'auto.
BUSCIA annonce à SUSINI, qu'il est allé à Menton récupéré l'émetteuret le réceptur, et qu'il va maintennt à Aubagne, cherché lles 30 kiogs de plastic gardés par un ami et, que maintenant il peut passer à la phase active de sa mission.se rendre au Mont Fron afin d'y maconner labombe.
Certains que ses instruction ont étés sivies, SUSINI part alors pour la Suisse, afin de proéder au crcrutement del'équipe qui sera chargée de la mise à feu.

      ASUIVRE.

Dans la villa d'un ami Susse qui avait habité l'Algérie, et dont les 2 fils avaien étés égotgés par l F.N.L. SUSINI réuit une vintaine de molitants sûrs:
- Vous tous ii, vous avez ma confianve, e peux donc parler en étant certain que riens ne sorira, il y va de nire vie.
- Le 15 août prochain, ne bombe explosara à 1 mètre du Général De GAULLE. Cette bombe es déjà en place, et sera actonnée par télécmmande.. Je suis ici, pour désigner l"équipe qui partira et appuiera sur le bouton. Cette équipe, comprendra ue dizine de personnes, ar il faudra assurer le repl des opérateurs et leur sortie de France. Je sait que vous êtes tous volontaires, mais j'attire votre attention sr la gravité des faits, donc, je comprendrai si certains d'enre-vous me disentnon,comme d'autres, iront oui. Je vous donne une demi-hure pou réfléchir, vous me donnerez votre éponse un par un. à tout à l'heur.
Un par un ils revinrent; USINI compta les réponses, ol y avaient autat de oui ue de non.
Il retint 10 personns pour constituer le commando de mise à feu: un coupe, un garçon et une fille qui se connaisait ç peine et 8 hommes cargés de leur protection. 19 personnes, dont le nom n'à jamais été connu de la police par la suite.
Le garçon du couple avait 28 ans, était étudiant et se prénommait DENIS; la fille avait 25 ans et se prénommait JANINE.
Un moment, SUSINI avait pensé y envoyer sa propre épouse, qui était enceinte et volontaire,elle avait cet argument, qu'une femme enceinte passe patout sans paraitre suspete. E défivitive SUSINI refusa.
Je vais faire en sorte que vous échappez au pire. Poue cela, il faudra suivre scrupuluseusement mesinstructions.Je me met à la place de l'adversaire et pense aux enquêtes qui ne manqeront pas d'avoir lieu. Vous qui allez ipérer, vous porerez  e bandoulière un poste transistor, danslequel un système de mise ç geu à distance sera dissimulé. Songezalors, que beaucoup de photographies seront prises par la police - certaines d'hélicoptère - e que leur première idée sera lors 'examiner tous ceux qu seront porteurs d'un transistor. Sachant les soupçons qui peuvent se poter sur un couple d'amoureux qu s'attardent trop au restaurant de laplate forme du Mon Faron, il leut donne des instructions très précises sur lemoment où ils devront arriver et l'a&ttitude u'ils devront predre: celle d'amoureux qui flrtent et photographienrDe GAULLE, parce que, c'est l'homme historiqu du moment

     A SUIVRE.

Sur unplan précis du restaurant, il leur montre la place qu'il decront occuper et l'endoit ou ils devront s enir au moment de l'explosion : Il existe unangle mor iù is n'auront riens à craindre ' les éclas seron morels sur un rayon de 200 mères).
Le esaurant est situé en face du mausolée, aisl'entrée est à l'opposé. Dès que De GAULLE et sa suite arriveront au bas de l'scalier, les jeunes gen sortiront, dépasseront l'angle mort, appuieront 15 secondes  sur le bouton (lexplsion e se produisant que 2 minutes après u'ils auront laché le bouton, il faut don calculer juste) puis se metront à l'abri dans l'angle mort.
SUSINI expose la façon dont il conçoit la récupération  des 2 opérateurs. Il leur renouvelle son ordre formel : n'acoir strictement, et sous auvun préexte, contact avec les membres de autres équipes, dont e'ailleurs, ils ignorent les noms.
Il ignore touefois, que BUSCIA n'a pas respecté cette consige, puisqu'il a pris contact avec Yves ROSSIGNOL, qui appartient à un autre groupe d'action. Lorsqu'il l'apprns SUSINI entre dans une froide cole, il sai que ce contact risque 'entrainer de nombreuses arrstations - beaucoup plus qu'il y en aurait, sans cette piste offerte.
SUSINI rencontre BUSCIA à Rome
- Misson accompliedi simpleent ce dernier.
- Tu l'a placé u bon endroi ?
- Pas exactement, Nous avons travaillé tote la nuit ar il n'y avait personne Nous avons fait toute la plate forme à la barre à mie,, on a trouvé le moyen d'enfuir les 33 kilogs d'explosifs dans le sol : mais j'ai trouvé une "fille" et je l'a exploite.
SUSINI est content, il sait qu'il peut faire confiance à BUSCIA.
- J'ai ramené avec moi 3 hommes, dont un ancien sous ogg de la Légion, LEHMAN avec qui j'ai fait la mise en place de la bombe au mont Faon.
- Tu est sûr d'eux ?
- Absolument, je les connais.
Le jour du ³5 août,SUSINI atend devantson transitor, il écoute le reportage et entend les discours successifs  de De GAULLE au mont Faron.. Connnaissnt les lieux, i l'imagine montant l'escalier sous lequel la mort est tapie. Rien ne se produit.
Devant lr mausolée, nouveau discour et.. toujours rien
La cérémonie est terminée et rien ne sest produit.
SUSIN est inquit, 10 de ses hommes étaient sur place,il dort malfaute de novelles.
Le lendemain atin, le garçon qui devait appuyer sur le bouton et qui a roulé toute la nuit jusqu'à Rome, vient faire son apport.
La raison de l'échec est stupide De GAULLE devait arriver au mont Faron à 16 heures : 'équipe de mise à feu deux heures aant, soit à 14 heres, or, la police a bouclé l'accès u mont Faron à Midi.
Nous nous sommesprésentés, l'appareil en bandoulière dissimulé sous ne veste, afin "éviter les photos prises d"hélicoptères. Nos avons tout essayé, ais l'accès &tait barré, pourtant nous étions à l'heure, la fille qui m'accompgnit et qu possédait un care de presse officielle, a essayé de fairedu charme au CRS, masi ien à faire, nous étions désespérés, mais nous ne pouvions faireautrement.
SUSINI comprend que le ciel n'est pas avec lui Il a besoins de régléchir, e prendre du champ, de faire le point, avant de poursuivre lla lutte, car c'et un irréuctibe.

Je vais voir s'il y aa suites intéressantes, et voir pacer des photos.

salut l'ancien . il avait la baraka le grand Charles     :hrte: :faché: :hrte: :faché:

Eh oui, il aviait la baraka.
 Je place des photos des pesonnages. - J'ao reluhier, sur l'atentat du mnt Faro,, là ela à surtout lopé de la faute de l'ex légionnaire LEHman je vais pose (en plusieurs fois) l'article concernnt la Jarre que l'on voit

 
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- UNE .FLAMME DANS LA JARRE;

 13 jo1964urs plus tard, soit le 29 août 19deux hommes examinent la situation , ils etiment qu'il y a eus une errur de BUSCIA64, une flame s'est brusquement dégagée d'une jarre de fleurs,se trouvant sur les marches du ausolée et, laissant supposer qu'un attenat avait été préparé au mont Faron,ce d'autant plus que l'on a retrouvé ans lajarre un bombe de 3 kilogs.
SUINI,ayantappris cete nouvelle par la radio,se rend aussitôt chhez ROSFELDER. les 2hommes examine l situation et estiment qu(il y a eux un erreur de la part de BUSCIA,car il n'a pas dit ou il avait exactement placé la bobe.qu'il a placé la bo
Convoqué, CUSCIA confirme que c'est bien dans la jarre qu'il a placé la bombe,que De GAULLE esi passé à 50 cm de celle-ci, donc le calcul éait bon, mais: cen'est pas 3 Kgs d'explsif qu'il a placé, mais 33 Kgs : 30 kgs de plastic  et 3 khs de TNT - lquel déage des gaz à la chaleur du soleil et peut par conséquent s'englammer.
RISFELDER et SUSINI en tirent les conclusions que : des gens avertis on jetés un mégot de cigarette  dans la     jare, d'ou le 30 kg d'explosifs avaient étés retirés/ Par QUI ??

             
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    A Suivre 'visite mpromptue

Cela va de soi - Les polciers pouvaient xploiter ce ait pourredorer le blson de De AULLE, car le second tour desélections Présidentiellles aprochait et, pour la première fis, De GAULLEse trouvait en ballotage avc Gtanços MITTERAND..
Le 8/4/1965, BUSCIA déjeune dans le restaurant dun ami J.P. LO CICERO; ils quittent le restaurant vers 15 heures. BUSCIA, porte u imperméable noir, emprunté à SUSINI?
Les deux homes passent le vieux port et empruntes la rue de la Répuboque, arrivé au coin de la rue Colbert, LO CICERO s'aperçoit qu'il n'a plus decigarettes:
- Je vais en acheter di'il.
- Je continue dit BUSCIA tu me rattraperas.
Après son achat, LO CICERO sort du magasin et vot, BUSCIA ceinturé par des poiciers..
Pensant que ceux-ci vont employer ds éthodes (qu'ils prétendent ne jamais utilier) pour faire parler BUSCIA, LO CICERO, fonce chezlrut ami restaurateur, le met au courant, alors ce dernier, téléphone au journal le "Méridional" qui annoncce la nouvelle le lendemain matin, coupnt ainsi l'herbe sous lespiedes des polciers, car ce ne sont pas ceux chargés de l'enquête qui ont rrêtés USCIA mais les Renseignements Généraux.
Très vite la nouvelles arrive à Rome chez SUSINI, et ce dernier peut se faire une idée de ce qui s'est passé au mont Fron et, ce qui a pu provouer l'arrstation de BUSCIA:  Uelques jours plistôt l'ex légionnaire LEHMAN , en qui BSCIA avait toute confiancce, a été vu à 11 heuresndu soir, sortant du bar le "Kronebourf"  à l'angle de la Canebière et du Bd Gribaldi, pa 2 émoins - dont l'étudiant PIERRE - en compagnie d'un inspecteur des Renseignements Généraux, chargé de surveiller les milieux de droite.
LEHMAN était le seul à avoir que BUSCIA était revenu aec lui à Marseille

     A UIVRE






sest passé au mont Farin. e

Quelques jours lus tard, LEHMAN renré impunément en Suisse, gaisait des révélations fracasantes  à la presse sur l'attentat du mont Faron. Il donnait un version déléirante, mais pasemée de précisions et de noms exacts.
Lenquête, avait pourobhet : "dépôt 
, dans une intention crimnelle  d'un engn explsif sr la voie publique".Cette enquêt, abotit à un dossir de : 364 Procès verbaux, 22 scellés et 6 albums de superbes phots, qui furent déposés sur le bureau du Président de la Sureté de l'Etat.
12 ommes étaient arrêtés: 3 dits en "guits": SUSINI, ROSFELDER et ironiqueent LEHMAN.
Il faut reconnaître que cette enquête fut un modèle du genre. Elle commença le 28 août 1964 à 14H45, lorsque des employés minicipaux travaillants au mémoril, aperçurent uen flamme"importante" sortan d'une des jarres, ls se précipitèrent pour esayer d'éteindre le feu, qui pouvait gagner lapinède  proche,lorsqu'une explosion  fit clater la jarre, répandant alentour, de la terre et des débris d'objets insolites, parmi lesqquels des fils, des piles, une lamp et un appareillage de radio miniaturisé, et le démineurs  de l'armée trouvèrent également  des morceauxd'explosifs.
Les policiers ne purent fair autrement que penser à la viste que le Gnérl De GAULLE avaiteffectuée 13 jours plus tôt.
L'endroit ou était posée la jarre, Lors de sa vite, le 15 aoû, le Général était resté immobile, à 50 cm de a jarre, écoutant l'homéle  du Ministre es Anciens Comba-ants de l'accueilir.

      A SUIVRE.

La découvete par les polciers et l'armée : des fils électriques enchevéés, 6 chzpeaux étalliques cosituants les embouts des pains de TNT de 452 Gr chacun, une bobine de fils, 13 piles de 1,5 volt et des débris de fer et de bois.
Dès le 28 ao^t, les experts avaient remis leur rapport et conclusins:
Il s'agissait d'ue charhe exlosive  avec disposiif de mise à geu par télécmmande , ils relevaient cpendant la présence d'un enfin "incendiaire" du TNT de l'armée francaise, et aune disparition n'était signalée au fort du mont Faron; cela vnait dons d'aolleurs.
En bref, malgré routes leurs découvertes, les arrestations, ils ne trouvèrent jamais les vrais oupables. SUSINI ne fut jamais arrêé.
Le Gnéral De GAULLE chappa ainsi à plusieur attentats, pour ceux de Pont sur Seine et du Petit Clamart, il eus beaucop de chance, pour certains, ou lç vraiment il devat y reter, il en échappa à cause de la confusion d'ordres de l'OAS.
Quoi qu'il en soit; si, ni les Génraux, Clonels et autres, ne pirent le faire démissioner, une seule chse fri q'il démissionna et même eus crainte, c'st la révote des Etudiats de mai 1968, alnt même jusquà devoir ller se réfugier aurès des rupes du Général MASSU..
Sans passage de consignes, il fut remplacé par POMPIDOU.

                     FIN