Dans un des Daoas qui vole vers DBP, le sergent-chef FONANAZ,l'ancien radio du lieuenant CABIRO,
revoit son passé,pur ne pas penser à l'avenir. Ce n'est pourtant pas la première fois qu'il paricipe à un
coup dur. Il se souvient des commandos effectués sous les ordres du colonel Otto SKORZENY, l'as des
troupes de choc allemandes,qui le 12 septembre 1943 a délivré MUSSOLINI,détenu au grand Sasso dans les Abruzes.
D'origine Vaudoise, son père possédait une plantation de caoutchouc aux Indes néerlandaises. Il avait
un bureau d'export-import à Anvers où il élevait ses 7 enfants; 2 fils et 5 filles. En 1939 la famille
quitta Anvers devant les troupes de Hitler et se réfugia en France,près de La Flèche, Charles,le fils ainé,servait au 2 éme régiment de dragon, à Auch. Il déserta en 1942 et tenta de franchir la frontière
espagnole pour rejoindre les F.F.L. mais il se fit arrêter et fut déporté à Buchenwald.
Pendant ce temp là,son frère Jacques suivat un chemin totalement inverse. Engagé dans les Waffen SS,il fut affecté dans les commandos de SKORZENY. Il se spécialisa dans la destruction par explosifs
des convois américains. Il fut arrêté à Milan e, il fut interné à Livourne avec les prisonniers allemands
La guerre contre la Japon n'était pas finie; les américains récrutèrent des volontaires parmi les prisonniers,pour conduire leurs camions. Jacques FONTANAZ se porta olontaire e se troouvait prêt à
partir pour l'E.O. quand le Japon capitula..Il fut transféré en allemagne, où il appris la libération de
son frère de Buchewald par les américains, quand à lui,il'avait pas intérêt à rentrer en France.
Charles, remit de sa déporation s'engagea dans le Légion étrangère et partit en Indochine.
En 1948,pour en finir avec la vie clandestine, Jacques FONTANAZ s'engagea lui aussi dans la
Légion étrangère.
Dans l'avion qui l'emmène à DBP il revit ce passé, il pense à son frère Charles,qui ici en Indo,fut
tué en 1952. Il avait reçu une balle dans le..foie,ce qui ne pardonne pas. Il se demandait ce que
don frère éait venu chercher ici, lui qui était un resapé de Buchenwald.
- Debout!... accrochez ! l'ordre le tira de sa révérie.
Le largueur était un béret rouge qu"il connaissait, celui-ci luit dit: Dans 1 heure je serai au
"shoking's bar! je te remplacerai ! nous penserons à oi !"
FONANAZ a une petir amie dans ce bar. La plainsanterie es classique.à froid lle est toujours drôle
mais, cette nuit, au dessus de DBP elle a perdu son poids d'humour; d'ailleurs FONTANAZ sent bien
que le ton de son copain n'est pas naturel? s'il a dit cela c'est pour le rassurer; il sait que si
FONTANAZ répondait " je te casserai la gueule" c'est qu'il penserait revenir de DBP. La plaisanterie
pren une alluré de tendresse... car.....
On ne fait pas un mort cocu.