SLE

Ce soir sur la télé locale en Corse , un doc sur la SLE.

Ils n'ont pas encore fini avec ça ?

Gérard HUCK a écrit:

Ils n'ont pas encore fini avec ça ?

Non c'est leur fonds de commerce, leur combat   leur raison de vivre à ces trois chouineurs.

Mais qu'il disent la raison pour laquelle ils ont pris des mois de SE.

Ha non surtout pas ! 

Et bien c'était pour éviter les Baumettes et ils devraient en être contents ( ou pas visiblement ).

Cela fait bientôt 50 ans que cette section est dissoutte, mais eux veulent passer pour des victimes de la Légion,
de la société : ils me dégouttent .

Mais bien sur il y en a , dans la presse, pour les écouter.

Car enfin c'était pas Dachau, pas le bagne de Cayenne. Dur oui et alors .


Si on les écoute , dans 20 ans il vont nous sortir qu'il y a un cimetière caché dans la maquis.

Alors non la Légion n'a pas " de larmes à avoir " ni repentance, ni excuses.

Sans doute Sandor, et c'est d'ailleurs ce qui a été fait.

Mais autre temps autres moeurs.

Combien y a t'il eu de disciplinaire de 62 à 76 ?

Sans  doute plus deux ou trois cent.

Combien foutent la merde 50 ans plus tard.... juste ces trois crevures.

Il y a eu , il faut le rappeler une CILA à Obock pour les TdM et une 50ème Section Spéciale à Fort d'Aiton
pour la régulière en France.

Est-ce qu'on en entend parler, car le réglement était le même.

Non parce que ceux qui y ont été prèfèrent oublier, mais aussi parce que parler de cela c'est moins porteur pour un journaliste que de cracher sur la Légion.

Toi aussi tu as raison.

Et pour compléter mon propos.

Jamais la Légion n'a voulu livrer ses hommes à la justice militaire ( régulière ) et civile.
Elle protégeait les légionnaires comme cela a toujours été la règle.
Même à la lointaine période des bagnes militaires, de Biribi , elle n'envoyait pas les légionnaires fautifs de graves infractions dans ces formations. Elle réglait ses affaire " en famille "

Mais avec la fin de l' Algérie, elle a voulu continuer cela en métropole, se disant sans doute que la Corse
était à part.
Elle a eu tord en voulant bien faire.

En effet valait-il mieux pour un délinquant légionnaire prendre une peine aux Baumettes, en interruption de service et non soldé
 que servir dans une unité disciplinaire avec ses services validés et une solde.

Ce n'est pas a moi de la dire, mais c'est vrai il y a une bonne grosse différence.

Ensuite, parmi tous ceux qui ont fait 3 mois ou 6 mois de SE, beaucoup sont rentrés dans le droit chemin
et ont ensuite eu une carrière honorable.

J'ai connu des cas de réussite mais aussi des échecs.


Après les cas particuliers ont peut en parler mais cela est-il bien utile ?

sandor a écrit:

L'histoire de la SE c'est un"negligence " du commendement.
Il n'y avait pas de raison de faire pardurer depuis   l'Indo et Algerie, mais comme on essayait de  laver encore  son   sale en famille, mais sur le continant ne marchait plus  . On  s'emmerdait  pour  rien, et il suffisait de reformer et mettre a la porte les tetes brulés, qui n'avait rien a voir avec  trois absences , mais cela faisait bien..."virilement votre'  école d"abrutis.

C'est ce qui se faisait quand j'étais en charge du poste (86-91) , je pense que mon successeur a fait pareil. 

Certains cas étaient vus avec bienveillance mais en cas de  susceptibilité de condamnation, la légion ne prenait pas de risque, le gars arrivait devant ses juges et il n'était plus légionnaire.

Peine purgée en fonction des causes, il pouvait se représenter et son cas était étudié.